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| un "échaffaudage" au dessus de la trémie de l'escalier |
Quelle joie de ne pas avoir d'élèves et de pouvoir enfin se reposer ... sur son chantier. J'ai invité des copains et trois sont venus pour me prêter main forte, idées ingénieuses et talent d'artisan (ous aurez reconnu dans l'ordre Emmanuel, Thierry et Eddy).
En deux jours, le frein vapeur est posé. Restent les tasseaux à visser. Il nous aura fallu trois heures pour créer un plancher dans la trémie et tout étayer. Je félicite Thierry car, sans lui, je crois qu'on n'en serait pas là!
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| vu du dessous, le plancher provisoire |
Pour les détails: le frein vapeur se fixe dans le sens hotizontal, du haut vers le bas, On découpe le lai le plus long possible en mesurant sur quel chevron on le fixera. 
On met de l'adhésif double face sur les chevrons (un ou deux ou trois) et un autre le long de frein vapeur. Puis on le positionne avant de tout fixer. Enfin, on colle le scotch du grand stroumph su toute la longueur. Un vrai travail de fourmis: il faut découper tous les angles et obstacles et colmater le moindre insterstice...
Bref, facile à dire...
Le reste, c'est comme une danse: on lève les bras bien haut et on tend, on se retourne, un coup d'oeil sur la linéarité de l'ensemble et on enjambe l'escabeau. On monte, on descend, et on rattrape plus loin. Et on recommence!
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| allez, plus haut! |
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| fixation du premier lai |
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| détail sur les angles |
Attention, c'est la pause, ou plutôt la reprise des affaires chez Eddy!
Je vous ai gardé ma photo préférée pour la fin, en contre jour, les garçons nous offre leurs plus beaux gestes, tout en douceur. Quand je vous dis qu'on danse....
Et puis, on se retrouve dans des situations burlesques, tout de même! Allez, je vous laisse les admirer, tous ces hommes, on en oublierai presque qu'une femme y était.
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