Bienvenue dans le journal de bord de la construction d'une maison en paille dans les Deux-Sèvres, avec récupération des eaux de pluie et phytoépuration. Projet de boisement et apiculture.

mardi 30 août 2011

Un week-end de l'assomption très pluvieux

Heureusement, nous étions cinq sur le chantier pour profiter de ce joyeux week-end prolongé qui marquait le début des vacances de Fabien. Au programme donc, un peu d'enduit avant la pluie mais surtout les plafonds. Nous nous sommes attaqués aux plaques du côté nord. Je les avais pré-peintes par terre pour me faciliter la tâche.
En fait, nous pensions nous faliciter la chose en prenant de grandes plaques OSB*, seulement, ce fut plus compliqué et plus lous à poser que le lambris. Le pire, c'est qu'il va falloir le recouvrir car les joints sont vilains. du coup, cela nous reviendra au même prix que le lambris.
A bon entendeur..
 
 De gauche à droite: Nicolas et Céline (à deux, c'est mieux!) puisNicolas, moi, Séverine, Céline. Et celui qui nous regarde? Je vous laisse deviner!
N'empêche qu'à cinq, nous avons fini en une journée et demi. Contents et fourbus.

Pour ce qui est du lambris, nous l'avons posé sur plusieurs semaines. Non que ce soit long mais nous avons privilégié les jours de pluie où Fabien était de congé. Forcément, en été, ça prend du temps. Quoique cette année, deux semaines et demi avec un jour de congé en plus du dimanche, nous ont suffi!
Et voilà le résultat:




Côté mezzanine, il a fallu passer au dessus de la trémis de l'escalier, ce que nous avons fait en mettant échaffaudage et tréteaux à la perpendiculaire. Plus l'escabeau et tout allait bien.

 Par contre, de l'autre côté, la trémie était plus imposante... Nous avons donc posé la planche de Kerto*, heureusement assez longue, entre le plancher de la mezzanine et le plancher provisoire. Fabien avait encore sous ses pieds la ouate qui irait deux jours plus tard disparaître dans la dalle! 
Derrière lui, l'échaffaudage monté au plus haut. Il a fallu monter sur le dernier échelon (parfaitement interdit, bien sûr). Il était bloqué aux pieds par la pile de plaques OSB* destinée aux cloisons et la pile de sacs de ouate. En haut, il était bloqué entre la trémie et le plancher. Et il n'a absolument pas bougé.
Ensuite, il nous a suffi de remettre le  Kerto* sur les tréteaux. Beaucoup plus confortable! Quoique, j'étais encore un peu petite!




Et voilà le lambris fini!
Et comme il nous restait un peu de lambris, j'ai recyclé les bouts de planche dans l'espace du dressing, côté chambre d'Axel, entre la cloison et la ferme. Cela couvre joliment les planches et n'a pris qu'une demi-heure :




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